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Autres Écrits du baron de Saxy-Beaulieu

Devant l’insistance de plusieurs amis et lecteurs de ce blog pour que je continue de publier les papiers laissés par feu mon distant cousin le baron de Saxy-Beaulieu, j’ai décidé de répondre à leur attente, non sans avoir longtemps hésité. Après avoir rendu publique (ici) une correspondance intime dont nous – sa famille – ignorions tout, je me suis en effet demandé si je n’étais pas allé trop loin, et si le baron ne se retournait pas dans sa tombe, cherchant à décrocher un téléphone funèbre en vue de me poursuivre pour atteinte à sa vie privée. Certes, l’hypothèse qu’il s’agissait là d’une ébauche de roman épistolaire plutôt que d’une correspondance réelle continue de me paraître plausible, même si le baron, aussi excentrique fût-il, ne passa jamais pour un esprit littéraire, mais je ne peux me libérer du doute à cet égard, du moins en l’état d’avancement où je suis dans l’étude de ses papiers, lesquels finiront peut-être par apporter la clé de ce mystère.

Malgré ce scrupule, je reconnais l’importance de nombre des feuillets que le baron a toute sa vie gardés pour lui et que ce travail met aujourd’hui devant mes yeux, et je remercie mes amis et lecteurs d’avoir insisté pour que je continue de mieux faire connaître ce mien parent.

FB

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Bönorna är ett klassiskt namn på Filistéerna, hvilka dyrkade Dagon eller Fiskguden och Beelsebul eller Dyngherren. (Strindberg, En blå bok) « Les ‘fayots’ sont un nom classique des Philistins, qui vénéraient Dagon, le Dieu poisson, et Beelsebul, le Seigneur des ordures. »

Ce passage est tiré d’un livre de Strindberg qu’il n’est pas possible de trouver à l’heure actuelle en Suède sinon chez quelques bouquinistes, dans de vieilles éditions. Plusieurs œuvres de l’écrivain n’existent ainsi en édition récente que dans la compilation de ses œuvres complètes, inaccessible au grand public.

J’ai pu faire une constatation semblable aux Pays-Bas en ce qui concerne Hugo de Groot, dit Grotius. Alors que celui-ci est partout reconnu comme le père du droit international, que sa dépouille repose à côté de celle de Guillaume d’Orange dans la Nieuwe Kerk de Delft, que sa statue domine la place principale de cette même ville, centre universitaire important, il est à peu près impossible de se procurer dans une librairie hollandaise la moindre de ses œuvres et, surtout, sa Dissertatio de origine Gentium Americanarum y est complètement inconnue et n’a selon toute vraisemblance jamais même été traduite en une langue quelconque, ce qui est d’autant plus regrettable que cet ouvrage présente des faits et documents à l’appui de l’affirmation selon laquelle l’Amérique précolombienne a connu des foyers de peuplement aryens, à l’origine de plusieurs civilisations.

La situation faite dans leurs pays respectifs à deux écrivains parmi les plus illustres représentants de leur nation est un bon indice de l’état de la culture en Europe aujourd’hui.

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Qui a jamais possédé un objet de valeur sans la crainte de le perdre, sans craindre la violence que l’on pourrait commettre pour s’en emparer ? Qui a jamais possédé une femme sans la crainte d’être déshonoré par un autre, pour peu qu’elle soit belle ? Le patriarche biblique présenta son épouse comme sa sœur, afin d’échapper au poignard effilé de la convoitise – sauvant sa vie au prix de son honneur.

Mais ce n’est pas tout. Celui qui porte dans le monde les marques de la dignité doit s’attendre à des attaques de toutes parts. De sorte qu’il ressemble plus à une de ces pipes des stands de tir, dans les foires.

Qui, pour échapper aux attaques des vicieux, s’abaisse au vice, en supporte toutes les conséquences, avec en outre le cruel souvenir de sa dignité perdue.

La société qui ménage à l’une de ses parties des jouissances enviables allume le feu de la révolution. Quant à celle qui s’efforce d’en gratifier tout le monde, elle ne ressemble plus à rien.

Chacun de nous, au sortir de ses jours d’insouciance, peut faire deux comptes : celui de ses fautes et celui des humiliations subies.

L’homme d’honneur, après avoir reçu une éducation policée, vit dans l’angoisse de la mort violente qui l’attend dans un monde plein d’affronts. L’homme vertueux qui a renoncé pour sa tranquillité aux biens de ce monde est haï pour son inhumanité. Luther écrit qu’il valait mieux subir l’injustice que la commettre. Je ne sais s’il ajoute qu’il n’y a nulle autre alternative.

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Croyez-vous que soit approprié le silence quand adviennent les conséquences ? Qui a souri comme vous l’avez fait ? Qui a lancé les regards que vous avez lancés ? Qui a caché son sourire à l’approche d’un tiers ? Qui m’a plongé dans un abîme de perplexité ? Qu’attendez-vous de moi ? Que je vienne vous chercher ? Que se passera-t-il ? Si j’acquérais des droits sur vous, comment remplirais-je les devoirs qui en sont la contrepartie ? Comment vous protégerais-je de l’injure et de l’offense dont je suis la cible ? Comment avez-vous pu croire que j’aurais jamais les moyens d’acquérir des droits sur vous ? Si je me promenais avec vous et qu’un infâme quelconque vînt à vous manquer d’égards, ne serait-ce que par pur désœuvrement, comment ne l’étendrais-je pas raide mort sur le champ ? Et comment le pourrais-je ? Comment vous aimer sans se résoudre à la violence la plus implacable ? Vous rendez-vous compte de votre légèreté ? N’essayez pas de m’opposer la peur d’une âme timide car il est trop tard pour avoir peur.

Vous m’avez rempli de mépris pour mes études philosophiques. Quels plans échafauderai-je ? Qui m’aidera ? Croyez-vous que j’aie des domestiques, à l’instar de Don Juan ? Ha, vous mériteriez, pardonnez-moi, de recevoir un soufflet de votre noble père, un soufflet d’autant plus émouvant qu’il serait administré par un père rempli d’indulgence pour votre faute. Car l’amour est un souverain bien-aimé de tous. Et les idoles que nous révérons font pâle figure en sa présence, même arrosées du sang expiatoire des victimes amoureuses.

Vous vous êtes fait des idées trop hautes de mes capacités pour le rapt, sans doute, et ceci devra finir par le triomphe du cynisme… et des apparences sauvées. Ou bien alors une part de vous se doutait que je serais lâche, et cela finira de la même manière.

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Ce jour où je cachais à votre vue, ostensiblement, un certain breuvage euphorisant, je me doutais que cet hommage rendu à la vertu attirerait votre attention, vous si sérieuse… Notamment parce que c’était l’hommage rendu par le vice ! Il ne vous déplairait pas de supposer, m’imaginais-je – et c’était odieux – qu’un tel hommage était trop ostensible pour être parfaitement sincère. Si l’hommage vous agréait, l’ostentation l’accompagnant ne serait pas non plus dépourvue d’une autre forme de charme.

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Le satyre de …

Plût au ciel que je pusse me promener avec à mon bras …, car cela fait partie des plaisirs de l’amour que d’exhiber sa conquête.

Sois comme l’Argonaute en quête de la Toison d’or, par allusion à …

Te rappelles-tu que Zeus s’est une fois transformé en pluie d’or ? Les dieux le peuvent. Fais en sorte que tombe sur toi la pluie d’or de …

Comment ? vous avez cru qu’une nymphe passerait sa vie sans un satyre auprès ? C’était bien mal connaître les lois qui régissent cet univers ; à votre place, je ne m’en vanterais pas. Quant à moi, je me réjouis d’être le satyre de cette légende. Une nymphe comme ça, sans satyre ? Jamais ! Dans quel monde vivons-nous pour que de pareilles idées germent dans l’esprit des gens ? Pas de nymphe sans satyre. C’est moi, le satyre de … !

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Il vous sera peut-être venu à l’esprit, si vous pensez parfois à ces choses, que la véritable fonction du condom, dont les distributeurs automatiques sont aujourd’hui partout, des stations de métro aux toilettes de collège, est d’empêcher le phénomène d’imprégnation ou télégonie. Vous n’auriez sans doute pas tort de le penser, dans le cas où les affirmations de certains virologues éminents, tels que P. Duesberg et le Prix Nobel K. Mullis, pour qui le virus du sida n’existe pas, étaient vraies. Croyant sauver sa vie, l’utilisateur de condoms participerait en fait à cette volonté collective d’empêcher la pollution génétique ressortissant à l’imprégnation. De même que le droit de cuissage doit être perçu davantage comme une institution « instinctive » que comme l’application de connaissances positives, le condom est une réponse de l’instinct collectif sur le même sujet. Les conditions n’étant pas réunies pour traiter ce problème de la pollution génétique par la morale individuelle, l’application instrumentale a dû paraître, collectivement, plus appropriée, et sans doute aussi plus sûre.

Il vous paraît peut-être injustifié de mettre préservatif et droit de cuissage sur le même plan. Rien de plus naturel, pourtant. Si vous doutez, tout d’abord, de l’origine germanique de l’aristocratie française, je me permets de vous renvoyer aux Lettres sur les Parlements de Boulainvilliers, à Montesquieu, à Gobineau, ainsi qu’à l’ensemble de la controverse du 17e siècle sur les deux races en France. Le droit de cuissage était un moyen pour la race aristocratique d’élever la race autochtone aux vertus de l’élite germanique et de conduire ainsi le pays sur la voie du progrès, grâce à l’imprégnation. Le déclin de cette institution, avec le délitement de l’ordre féodal, l’apparition de la noblesse de cour et la vénalisation des titres, n’est pas pour rien dans certains phénomènes du temps de la Révolution française. Rappelez-vous que la revendication populaire au moment de la Révolution était portée par les « sans-culottes ». Un nom dont ils étaient fiers ! et que je traduis par « ceux qui exhibent leurs parties ». Le moment où ces satyres portèrent dans Paris, ainsi qu’un trophée, au bout d’une pique, la matrice d’une dame de l’aristocratie qu’ils venaient de massacrer, la princesse de Lamballe, est révélateur de leur revendication réelle. Le noble ne payant plus de sa personne pour aider la race autochtone à s’élever, celle-ci allait prendre les devants et se payer sur la femme germanique.

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Pour me consoler de ma solitude, je pense à celle des êtres tels que vous, en ce monde, au milieu de gens moins beaux, moins intelligents, moins bons, et que l’on nous demande de plaindre, alors que c’est vous qui êtes à plaindre. Quelle amitié pouvez-vous espérer de la part de tant de fourbes et d’insensés, de la part de ceux, par exemple, qui sont nés intoxiqués des poisons qu’absorbent leurs parents, ou de ceux dont les mères ou grands-mères dévergondées se sont fait imprégner par leurs chiens (,,Das Handel und die Zucht der Sodomsprösslinge war ein äußert gewinnbringender Geschäftszweig und besonders die Tempelpriester erwarben sich dadurch ungeheure Reichtümer, da Männer und Weiber den Sodomsgenuß um schweres Geld erkaufen mußten.’’ LvL) ?

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Frater August (Strindberg), der auch ein großer Naturphilosoph war, erklärt wie manche Leiche als sie sich zersetzen, so gut wie Blumen duften. Hier handelt es sich um reine Arier, aufgrund ihres besonderen Stoffwechsels.

[C’est « l’odeur de sainteté », un phénomène connu de l’Église catholique depuis des siècles. Je m’étonne que le baron ne le mentionne pas et se contente à ce sujet d’une simple remarque de l’écrivain Strindberg. FB]

In Verbindung soll ich auch hinzufügen, daß wegen der Anwesenheit des Gottes riecht der Ausscheidungskanal der nordischen Weiber schlecht überhaupt nicht, sondern im Gegensatz dazu zwar wie Veilchensträuße duftet! Davon bin ich fest überzeugt und möchte alle möglicherweise auf Erfahrung basierten Einwände mit der Tatsache beseitigen, daß diese Reinheit, in der durch Sodomie und Telegonie entarteten Gottmenschheit heutzutage fast erschöpft ist.

Um diese Wahrheit zum Griff zu kommen, darf man das ,,biogenetische Gesetz’’ Haeckels – die Ontogenese rekapituliert die Phylogenese – in Betracht ziehen. Daß so viele Kinder allerlei Rassen helle Haut, Haar und Augen haben und ihre eigentümliche Dunkelheit nur beim Wachstum erwerben, muß dem Gesetz nach durch die Tatsache erklärt worden sein, daß der ursprüngliche Mensch Arier war.

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Dans un roman de Knut Hamsun, on trouve l’observation suivante : « Au fond, elle est plus magnifique que belle. » C’est alors que j’écrivis dans mes mémoires : « Il fallut donc que je la pervertisse et la souillasse pour qu’elle devînt moins magnifique et plus belle. » Je lui fis part un jour de cette réflexion. Plus tard, lui trouvant un air méphistophélique qui me la rendit momentanément méconnaissable, je me reprochai de tels propos, et de l’avoir induite en des pensées impures. La réflexion me vint qu’un malheur la rendrait aussi « magnifique » qu’elle l’avait été. Le lendemain, j’apprenais un horrible événement. [Ce fragment est pour moi mystérieux ; je n’ai trouvé à ce jour aucune trace de ces mémoires dans les papiers du baron. FB]

XLVIII Der Freiherr von Saxy-Beaulieu

You are already acquainted with my relative the late Lord of Saxy-Beaulieu, to whom I introduced you here and here.

I have been busy sorting the papers he left after his death. I have already published some of his French writings and I now proceed to publishing his German writings (of which there probably will be at least two installments).

I sense that his German is not always quite correct but my rather insufficient proficiency in the language does not allow me to correct his style, sorry about that. Any help by more proficient than me is welcome. As to his ideas, I prefer to make no comment.

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Das Weib ist Plastik

Gucken Sie bitte mal die zwei folgenden Bilder. [I couldn’t find said pictures in the Baron’s papers, unfortunately.] Können Sie es glauben, daß es sich hier um dasselbe Weib handelt? Ja wisset, das selbe Weib – aber nicht der selbe Mann! Zwischen beide Bildern liegt wohl der Unterschied, welcher Mann dieses Weib geschlechtlich besitzt und verkehrlich bearbeitet! Das Weib ist wie Kunststoff oder Lehm, es braucht den Künstler, das Formengebende.

Jedes Weib kann schön sein oder werden. Das kann nun nur möglich sein, wenn das Weib plastisch ist. Ich sehe es als die Pflicht des Mannes, ob das Weib schön oder nicht ist. Was über dieser „Plastizität“ wirkt, ist eine Art Suggestion der männlichen Kraft, von deren die Morphologie des Weibes abhängig ist, sobald das Weib sexuell reif wird. Daß diese Kraft durch das Weib als sexuelle Aufregung empfindet wird, ist selbstverständlich. Anders gesagt: das Weib wird schön, das sexuell erregt wird. Eine ständige sexuelle Erregung ist das Erfordernis ihrer sonst immer fragwürdigen Schönheit.

Die Morphologie des Weibes ist unbestimmt. Anders gesagt ist das Weib Plastik. Nehmen wir nun zwei Beispiele von weiblichen europiden Mischlingen. Das erste Weib ist ein Mischling von nordischen und mediterranoiden Typen, das zweite von nordischen und slawisch-mongoloiden Typen. [Pictures missing from the papers.]

Fall A
Bild 1: sieht nordisch aus.
Bild 2: sieht mediterranisch aus.

Fall B
Bild 1: sieht mongoloid aus.
Bild 2: sieht nordisch aus.

Die Beispiele sind klar genug. Es sieht fast so aus, als das Skelett des Weibes ganz weich und modellierbar sei, was überhaupt durch die Tatsache bestätigt scheint zu sein, daß viele Weiber nach der Wechseljahre Knochenbrüche erleiden.

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Brahmanische Sexualtechnik
um die Weiber zu dominieren

Um das edle Weib außerhalb der Niederkastigen Reichweite zu halten, müssen alle Mittel benutzt werden. In dieser Hinsicht ist neben den notwendigen repressiven Mitteln auch die Brahmanslehre des innerlichen Samenergußes aus besonderer Nützlichkeit. Der folgende Beitrag ist eine Einführung zu dieser Technik. Vorsicht: Die Technik eignet sich nicht für herzschwachen oder kranken Personen. Anmerkung: Sie stammt nicht unmittelbar aus der berühmten Kama Sutra, die ein späteres, und daher auch sicherlich entartetes Werk darstellen.

Die Benutzung dieser Technik ermöglicht bei jedem Mann stundenlang Geschlechtsverkehr. In Wirklichkeit soll der Geschlechtsverkehr nur wegen der Muskelerschöpfung, z.B. der Beine und Lende, aufhören. Diese Tatsache kannten wohl die Arier aus Indien und sie benutzten sie, um ihre Zivilisation möglichst lang aufrechtzuerhalten und die Klassenvermischungen zu vermeiden dank der Überbefriedigung der weiblichen Lüste.

Es handelt sich einfach um den Erguß anzuhalten, beim Augenblick, wo er geschehen soll. Als der Mann fühlt, daß der Samen sich anschickt, auszuspritzen, muss er die Penetration momentan unterbrechen und den normalen Erguß mit der Anspannung aller Muskeln verhüten. Wenn er das ein bisschen zu früh tut, fließt dann der Samen in die Hoden zurück; die sexuelle Anregung bleibt hoch und der Mann kann nicht die Penetration lang wiederholen bis er sie wieder unterbrechen muss. Wenn er aber es zum genauen Augenblick tut, geschieht es nun ein innerlichen Samenerguß: der Samen fließt in den ganzen Leib. Nur einigen Tropfen der „Cowper“drüsenflüßigkeit –die als Schmiermittel dient– möglicherweise ejakuliert worden sind.

Das Genuß ist genauso heftig wie bei einem äußerlichen Erguß; der Mann empfindet sehr sinnlich klar die charakteristischen Anspannungen des Geschlechtsteiles, die den Samen draußen projizieren sollen; nur, daß den Samen umgeleitet ist. Allerdings liegt das Vorteil darin, daß der Geschlechtsteil gar nicht untauglich wird, die Anregung sofort wie beim Anfang der Penetration zurückkommt und deshalb das Verkehr ganz normalerweise wiederholen mag.

Damit ist jedermann imstande ein ganzer Harem ununterbrochen zu befriedigen. Man kann unbesorgt zu Hause masturbierend trainieren. Ich mache auch darauf aufmerksam, daß der Verlust von Samen durch äußerlichen Erguß eine Entkräftung darstellt. Innerlicher Samenerguß kann deswegen auch eine Lösung dazu bringen. Darüber hinaus nährt der innerliche fließende Samen durchs Aufsaugen den ganzen Leib, genauso wie bei der Enthaltsamkeit. Bei der Letzteren spielen doch auch die nächtlichen Pollutionen eine Rolle und die Entkräftung wird daher nicht gelöst. Die Einwirkung des Samens soll nicht unterschätzt sein; denken Sie nur an der physiologischen Imprägnation (Telegonie). Alles in allem pflegt damit der edle Mann seine Gesundheit und dient gleichzeitig seine Kaste. Die längere Benutzung des Geschlechtsteiles während ungewöhnlich dauernden Masturbationen oder Penetrationen dient auch dazu, daß sie es nach und nach vergrößert und verhärtet.

Letztlich möchte ich den möglichen Einwurf beiseitigen, daß der Samenerguß, sei es innerlich oder äußerlich, die Hoden leeren und also mehr als einen bestimmten Zahl davon verhindern müssten. Das ist einfach nicht richtig, daß die Hoden sich „leeren“; die Erzeugungsfähigkeit der Hoden ist dafür viel zu groß und die Untauglichkeit, Geschlechtsverkehr zu treiben ist gar nicht durch ein solches „Sichleeren“ verursacht. Entgegen Außenerguß haben Innenergüße keine Wirkung über der Tauglichkeit des Geschlechtsteiles. Nach drei oder vier kurzen (sekundenlangen) Unterbrechungen ist es dann nicht mehr notwendig die Penetration zu unterbrechen und die Penetration kann stundenlang dauern. Nur viel später –mindestens nach einer Stunde– mag einen Erguß noch hervorgebracht worden.

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Calvin sagt: „Der Mensch ist Müll“ (une ordure), was man auch „Der Mensch ist ein Schwein“ übersetzen kann. Er schreibt auch: „Die Kinder sind kleiner Müll“ (de petites ordures). Ich vervollständige: Die Weiber sind Müll, die Weiber sind schöner Müll.

Som Buddhist är jag, lik Buddha och hans tre lärjungar, qvinnohatare, emedan jag hatar jorden derför att den binder min ande, och derför att jag älskar den. Qvinnan är för mig jorden med all dess herrligheter, bandet som binder; och allt ondt af det ondaste jag sett, är qvinnokön. /…/ Det är ljufva villor, Herre, ljufva, alltför. Men skall jag aldrig lära mig döda mitt kött?August Strindberg

Übersetzung: Als Buddhist bin ich, wie den Buddha und seine drei Schüler, Weiberhaßer, da ich die Erde haße, die meinen Geist bindet und von der ich verliebt bin. Das Weib ist für mich die Erde, mit all ihrer Herrlichkeit, ein Band, der bindet; und das großte Böse aus dem Böseste das ich sehe, ist das Weibergeschlecht. (…) Das ist süße Täuschungen, Herr, allzu süße. Wird ich aber niemals lernen, mein Fleisch zu töten?

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Widersprechung der Urknalltheorie

Der beim Max-Planck-Institut arbeitende Physiker Halton Arp leitet die Dissidenz wieder der Urknalltheorie. 

Offener Brief von 33 Wissenschaftlern (Original veröffentlicht in New Scientist, 22.-28. Mai, 2004, Seite 20)

„Die Urknalltheorie basiert auf einer großen Anzahl hypothetischer Wesenheiten, auf Dingen, die wir niemals beobachtet haben – Aufblähung, geheimnisvolle Materie und dunkle Energie sind die auffallendsten Beispiele. Ohne diese gäbe es einen fatalen Widerspruch zwischen den Beobachtungen durch die Astronomen und den Vorhersagen der Urknalltheorie.

In keinem anderen Bereich der Physik würde diese stetige Zuflucht in neue hypothetische Objekte als ein Weg akzeptiert werden, um die Lücke zwischen Theorie und Beobachtung zu schließen. Irgendwann würden ERNSTHAFTE FRAGEN ÜBER DIE RICHTIGKEIT DER ZUGRUNDELIEGENDE URKNALLTHEORIE AUFGEWORFEN.

Doch die Urknalltheorie kann ohne diese zurechtgepfuschten Faktoren nicht überleben. Ohne das hypothetische Inflationsfeld kann mit dem Urknall die fließende isotropische kosmische Hintergrund-Strahlung, die man beobachten kann, nicht erklärt werden, weil es keine Möglichkeit für Teile des Universums, die sich nun mehr als nur wenige Grade vom Himmel weg befinden gibt, die gleiche Temperatur zu erhalten und somit dieselbe Menge an Mikrowellenstrahlung auszuströmen.

Ohne eine Art von geheimnisvoller Materie, ungleich zu jener, die wir trotz 20 Jahre voller Experimente beobachtet haben, stellt die Urknalltheorie widersprüchliche Vorhersagen für die Dichte der Materie im Universum auf. Eine Inflation erfordert normalerweise eine 20 Mal höhere Dichte als die, die in der Urknall-Atom-Zusammensetzung, der Erklärung über den Ursprung der Lichtelemente, angedeutet wurde. Die Theorie sagt aus, dass dass Universum ohne dunkle Energie nur ungefähr 8 Milliarden Jahre alt sei, was Milliarden von Jahren jünger wäre, als das Alter vieler Sterne in unserer Galaxie.

Ferner hat die Urknalltheorie keine quantitativen Vorhersagen aufzuweisen, die hinterher durch Beobachtung bestätigt werden konnten. Die Glanzleistungen, auf die die Anhänger der Theorie sich beriefen, bestehen aus der Fähigkeit Beobachtungen rückwirkend mit einer stets ansteigenden Ordnung verstellbarer Parameter tauglich zu machen, gerade als bräuchte die alte Kosmologie mit der Erde im Mittelpunkt Ebene für Ebene Epizyklen.

Doch der Urknall ist nicht das einzige verfügbare Gerüst, um das Universum zu verstehen. Sowohl durch die Plasmakosmologie als auch dem Modell des festen Zustandes entstand die Vermutung von einem sich entwickelnden Universum ohne Anfang und Ende. Diese und andere alternative Versuche können das grundlegende Phänomen des Kosmos, darunter die Fülle der Lichtelemente, die Generation von Strukturen großen Ausmaßes, die kosmische Hintergrundstrahlung und wie die Rotverschiebung von weit entfernten Galaxien an Abstand zunimmt, ebenfalls erklären. Diese haben sogar neue Erscheinungen vorhergesagt, die später beobachtet wurden. Dies war bei der Urknalltheorie nicht einmal der Fall.

Anhänger der Urknalltheorie mögen erwidert haben, dass diese Theorien nicht jede kosmische Beobachtung erklären können. Das kommt kaum überraschend, da ihre Entwicklung durch den vollständigen Mangel an Forschungsgeldern ernsthaft gehemmt wurde. In der Tat können solche Fragen und Alternativen noch nicht einmal jetzt frei diskutiert und überprüft werden. In den meisten Konferenzen der „Hauptströmung“ fehlt ein offener Austausch von Ideen.

Während Richard Feymann sagen konnte, dass „Wissenschaft die Kultur des Zweifels sei“, werden bei der Kosmologie heutzutage keine Zweifel und abweichende Meinungen toleriert. Junge Wissenschaftler lernen sich still zu verhalten, wenn sie etwas Negatives über das Standard-Urknallmodell zu sagen haben. Diejenigen die die Urknalltheorie anzweifeln fürchten, dass es ihre Zulassung kostet, wenn sie dies aussprechen.

Selbst Beobachtungen werden heute durch diesen voreingenommenen Filter interpretiert. Ob sie für richtig oder falsch angesehen werden hängt davon ab, ob sie die Urknalltheorie unterstützen oder nicht. So werden abweichende Daten von der Rotverschiebung, der Fülle von Lithium und Helium , und die Verteilung der Galaxien zwischen anderen Themen ignoriert oder als lächerlich abgestempelt. Dies spiegelt eine wachsende dogmatische Einstellung wider, die für den Geist freier wissenschaftlicher Untersuchungen einen Fremdkörper darstellt.

Heute werden eigentlich alle finanziellen und Versuchsmittel an die Urknallstudien hingegeben. Die Geldmittel stammen aus nur wenigen Quellen und die Untersuchungssausschüsse die sie kontrollieren, werden von Anhängern der Urknalltheorie beherrscht. Dies hat zur Folge, dass sich die Herrschaft der Urknalltheorie auf diesem Gebiet ohne Rücksicht auf die wissenschaftliche Gültigkeit der Theorie selbst aufrechterhält.

Da nur Projekte innerhalb des Urknallsystems Unterstützung erhalten, wird ein grundlegendes Element der wissenschaftlichen Methoden untergraben – die stetige Überprüfung der Theorie anhand von Beobachtungen. Eine solche Einschränkung macht vorurteilsfreie Diskussionen und Forschungen unmöglich. Um dem abzuhelfen treiben wir diese Dienststellen, die die Arbeit in der Kosmologie mit Geldern unterstützen , an, einen bedeutenden Bruchteil ihrer Geldmittel für Nachforschungen in alternative Theorien und zu beobachtende Widersprüche zur Urknalltheorie beiseite zu halten. Um Vorurteile zu vermeiden könnte man den Prüfungsausschuss, der solche Gelder zuteilt aus Astronomen und Physikern außerhalb des Kosmologiebereiches zusammenstellen.

Zuteilende Gelder für Untersuchungen zur Richtigkeit der Urknalltheorie und seine Alternativen würden den wissenschaftlichen Prozeß möglich machen, der unser richtiges Modell der Geschichte des Universums bestimmt.“

Vergleich:

„Die judengeistigen Dogmatiker mögen wissen, daß ihre Zeit in Deutschland vorbei ist, für sie ist kein Platz in der Deutschen Physik.“ – Johannes Stark, Deutsche Physik, 1937

„So werden abweichende Daten von der Rotverschiebung, der Fülle von Lithium und Helium, und die Verteilung der Galaxien zwischen anderen Themen ignoriert oder als lächerlich abgestempelt. Dies spiegelt eine wachsende dogmatische Einstellung wider, die für den Geist freier wissenschaftlicher Untersuchungen einen Fremdkörper darstellt.“ – Halton Arp usw, 2004

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Edmund Husserl sah kein höheres Ideal für die Philosophen, als „Beamte der Menschheit“ zu sein (s. Die Krisis der europäischen Wissenschaften und die transzendentale Phänomenologie). Als ob dies nicht eine zwerghafte Mentalität verräte! Sollen Philosophen kleine oder hohe Beamte sein? oder vielleicht Polizeibeamte?

Ein Beispiel wird genügen, um die lachhafte Stellung von Husserls Gedanke in der Geschichte der Philosophie richtig zu stellen. In der oben genannten Kris. der eur. Wiss., behauptet er, daß die sich auf der Mathematik basierende Wissenschaft nur eine geistige Bauung ist, die keine Korrespondenz in der sachlichen Realität besitzen würde. Als Beispiel gibt er die auf dem Grund von alles liegende Geometrie: geometrische Figuren seien „Reinigungen“ von wirklichen Sachen, die in der Sachenwelt (Lebenswelt) keine solche Reinheit in sich selbst besässen. Z.B. würde man keinen reinen Kreis noch keine reine gerade Linie in der Natur finden. Hätte jedoch der Beamte Husserl nur einmal sein Büro verlassen, hätte er in der Stille der Nacht den reinen Kreis der Mond, und an dem See die perfekt gerade Linie des Horizonts bewundern können, ohne „geistige Bauung“ zu brauchen.

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Klassenverschiedenheiten
der Gaumstrukturen

Gern zitiert man Rassenforscher Hermann Gauchs folgende Aussprechung, um die Rassenkunde lächerlich zu machen: „That birds can be taught to talk better than other animals is explained by the fact that their mouths are Nordic in structure…. “ (Prof. Hermann Gauch, 1933; anonymous online translation)

Aber Papageien haben verschiedene Gaumstrukturen, die ihnen das Sprechen ermöglichen, als die anderen Vögel. Solche Verschiedungen finden sich auch bei Menschenklassen, obwohl diese geringer als bei Vögeln sind. Manche Töne können nicht von bestimmt eingegliederten Gaumen ausgesprochen werden. Es scheint mir z.B. klar, daß man in Deutschland zunehmend nix (k-s) statt nichts (ch-t-s) nicht nur deswegen ausspricht, weil die Sprache entartet hat (z.B.  aufgrund zunehmenden Nachläßigkeit), sondern auch und vor allem weil die Gaumen entartet haben.

Der spanische Schriftsteller Ernesto Gimenez Caballero hat über die Ausspracheverschiedenheiten zwischen die in Portugal gesprochene portugiesische Sprache und die, die in Brasilien gesprochen ist, geschrieben. Er sagt, die brasilianische Sprache sei dieselbe, aber durch Faulenzer verzerrt. Er gibt verschiedene Beispiele, von denen ich nur das folgende nehme, da es als englisches Wort –football– klar sein wird:  In Brasilien sagen sie nicht futbol, sondern futibol oder futshibol, da der Klang (t-b) schwer und unbequem für brasilianische Gaumen ist. Übrigens sprechen sie in Brasilien die Endung-L-Buchstabe nicht aus; sie „vervokalisieren“ sie. Daher spricht sicht football eigentlich futibou aus, und Brasil‚ Brasi-u. Der L-Klang verlangt eine Zungebewegung, die sehr unbequem für manche Gaumen ist. Die Nasalisierung vielen Konsonanten dient denselben Zweck der „Vervokalisierung“: bem (gut) spricht sich etwa be oder ba aus, der Klang kommend aus der Nase.

Die „Faulenzer“ aber sind nicht anders als die Niederkastigen, die die Mehrzahl des Landes bilden. Da solche Gaumen im Allgemeinen das „Zusammenprallen“ von Konsonanten vermeiden, erwerbt ihre Sprachen eine bestimmte Ausdrucklosigkeit und Charakterlosigkeit, die sie oft mit eine typische Vielsprecherei ausgleichen. Mediterranen sagen gern, ihre Sprachen seien musikalisch; das hat aber keinen Sinn.

Als ich nun beobachte, wie man tierische Schreien z.B. auf Französisch umschreibt, bemerke ich sofort die Präponderanz von Vokalen:

Hund: Oua (u-a)
Katze: Miaou (m-i-a-u)
Wolf: Aou (a-u)
Pferd: Hu (franz. u)
Esel: Hihan (i + nasalisierter Vokal)
Eule: Houhou (u-u), usw.

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Politischer Buddhismus 

Thailand

In Achsen-Mitgliedsland Thailand Thailand [technically speaking, Thailand did not sign the Antikomintern Pact but a bilateral treaty with Japan that aligned Thailand on the side of the Axis during the war] waren nationalistische Buddhisten sehr aktiv. Der Führer Phibun Songkhram hat Buddhismus zur „nationalen Religion“ befördert. Er hat den Namen Siam in Thailand geändert, um das Thai Volk zu fördern. Er adoptierte den Nürnberger Gesetzen ähnliche Gesetze bezüglich der Chinesen, der „Juden des Ostens“ (Luang Wichitwathakan).

Buddhadasa Bhikkhu war einer der einflußreichsten buddhistischen Theravada-Mönche des 20. Jahrhunderts und vielleicht der größte geistige Meister des Achsenregimes von Thailand. Mehrere der höchsten Obrigkeiten des faschistischen Phibun-Regimes nahmen an Seminare bei diesem Mönch teil.

Dieses Land ist von der Öffentlichkeit als Achsenmitgliedsland nicht bekannt, meiner Meinung nach, weil die Leute, die mit den Japanern kollaboriert haben, bis in die sechziger Jahre noch in der Regierung waren. Der Führer Phibun Songkhram wurde zwar 1944 aus der Regierung beseitigt, kam aber mit denselben Leuten 1947 durch einen Staatstreich zurück.

Diese Menschen waren Nationalisten und wurden durch das Buddha-Mönchtum stark unterstützt. So viel, daß 1941 der Vertrag mit den Japanern vor dem heiligen Smaragd-Buddha unterzeichnet wurde. Für etwa 50 Jahren war das Land eine Art buddhistisch-faschistische Theokratie.

1957 wurde Phibun, diesmal durch eine seiner Mitarbeiter, erneut beseitigt. Der Einfluß des Nationalsozialismus war jedoch noch so groß, daß dieser Mensch –Gl. Sarit Thanarat– eine neue Partei bildete, die er „die Nationalsozialistische Partei“ nannte.

Birma

Der Diktator Bo Ne Win* regierte über Birma von 1962 bis 1988 mit einer kuriosen, aus Marxismus-Leninismus, Nationalismus und Buddhismus zusammengesetzten Ideologie. Eigentlich war er stark Nationalismus- und Autarkie-orientiert: als er an die Macht ankam, hatten alle Fremde drei Tage, um das Land zu verlassen. Die einzige Ausnahme war der Estniche Friedrich Lustig, weil er buddhistischer Mönch war.

*Bo Ne Win gehörte den sogenannten „Dreizigen Kameraden“, die durch die Japaner militärisch ausgebildet in Hainan (China) wurden, um gegen die Briten zu kämpfen. Später hat er die Japaner verraten.

Laos

Im Laos wurde ungefähr zu derselbe Zeit (1963) eine sozialistische Regierung eingestellt. Sie versuchten wie in Birma Marxismus und Buddhismus in Einklang zu bringen. Das bleibte da erfolglos, und der Sangharaja Thammayano (oberster Patriarch von Laos) flüchtete 1979 nach Thailand, wo die nationalistische Diktatur ihn gut empfing.

Viet Nam

In 1939 gründete der Mönch Huyn Phu So eine buddhistische Bewegung, Hoa Hao, die mit den Japanern wenig später stark kollaborierte.

Ein Gespenstertöterbund

Japans Hauptfeind im zweiten Weltkrieg was der nekromantische Bolschi, der Materiemensch, und die lebenden Tode von Sowjetrußland. Seinem Seelenleben beraubt war der Mensch in Rußland keinen Lebendiger mehr, sondern eine fressende Ghoul, Werkzeug der Gespenster. Die Ereignisse von dieser Welt sind nur ein Spiegelbild des Kampfes in der Geisterwelt, mit auch manchmal schreckenhaften Brücken dazwischen. Japans Heer war im besonderes durch die asketischen Buddhapriester unterstützt. In Thailand, wo die Feuchtigkeit der Luft den Gespenstern besonders günstig sind, haben die Priester seit Jahrhunderten viele Arbeit mit Gespenstern gehabt. Das Kult hatte aber so viel entartet, daß die Geisteraustreiber von ihrer eigenen ausgearteten Kirche verfolgt waren, und brauchten ausländische Hilfe, namentlich die japanischen Kriegerbünde.

Pi Hua Kat das enthauptete Gespenst

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Thai-Sikh, Thai-Bharat Gesellschaft und die Indische Unabhängigkeitsbewegung

A

Die Indische Nationale Wehrmacht (Azad Hind Fauj), die mit der Achse gegen die Alliierten gekämpft hat, war von 60 bis 70% aus Sikh zusammengesetzt, während die Sikh nur 2% der Bevölkerung Indiens darstellen. Es besteht ein Bund der Veteranen der Azad Hind Fauj, und als ein von ihnen stirbt macht das die Schlagzeilen; sie werden Freiheitskämpfer genannt. Die prominentesten Mitglieder der Azad Hind waren Sikh.

Thailand besitzt eine nicht unbedeutsame Sikh-Gemeinschaft, die scheinbar gut integriert in Phibuns Staat war. Sie könnten aus Thailand wichtige Arbeit gegen die Engländer und für die indische Unabhängigkeit tun. Der Thai-Sikh Pritam Singh war mit Baba Amar Singh Begründer des „Unabhängigen Indischen Bundes“ in Bangkok und der erste, der Kontakt mit den Japanern nahm, um eine Zusammenarbeit gegen England fortzuführen.

Thailand war eigentlich das Zentrum, wo alle Handlungen zwischen indischen Freikämpfern und Japanern stattgefunden haben. Die Gründung einer Panindischen Liga wurde 1942 während der Bangkok Konferenz und in Anwesenheit des deutschen Botschafters Ernst Wendler beschlossen.

Die prominenteren Mitglieder der Azad Hind waren die folgende Sikh:

–Mohan Singh, ihr Begründer;

–Niranjan Singh Gill, der (vorher) höchste Offizier der Britischen kolonialen Wehrmacht in der Azad Hind;

–Gulzara Singh, der Selbstmordkommandos leitete;

–Pritam Singh, auch Begründer, mit Baba Amar Singh, des „Unabhängigen Indischen Bundes“ in Bangkok;

–Gurbaksh Singh Dillon, der später eine wichtige Rolle in der Unabhängigkeit Indiens spielte. usw.

Die Sikh haben auch die Azad Hind für gemeinschaftlichen Zwecken benutzt. Zum Beispiel hat die Achte Division unter der Leitung Bishen Singhs ein Gurdwara Sahib (Sikh Tempel) im Malaya gebaut.

B

Auch die Hindu-Gemeinschaft ist anwesend in Thailand. Prafulla Kumar Sen bzw. Swami Satyananda Puri, Philosoph und Professor bei der Chulagonkorn Universität, gründete 1939 die Thai-Bharat Gesellschaft, um die hinduistische Kultur in Thailand zu fördern. Das zeigt, daß Phibun keine Gefahr für Thailand in indischen Gemeinschaften sah. Derselbe S.S. Puri nahm, als Begründer des Indischen Nationalen Rates, an der Bangkok Konferenz mit den Japanern und Deutschen teil.

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Deutsches Raj

Der größte Indologe des Britischen „Empire“ hieß Max Müller, ein Deutscher, der in Oxford lebte. Er gab den Briten die Berechtigung ihres Kolonialismus, da er die geistige Arbeit durchführte, die durch die Briten selbst nicht durchgeführt worden konnte. Dank seiner Arbeit konnte England und der Disraeli ziemlich als zivilisationswertlich ihre schacherischen Unternehmen vorlegen.

Müller war nicht der einzige Deutscher, der in der Eroberung der Welt durch die britische Macht teilnahm. Ein anderer war der Ariosoph und Gründer der Ordo Novi Templi (ONT) Jörg Lanz von Liebenfels:

Lord Kitchener hatte Kontakt zu einem Mann namens Jörg Lanz von Liebenfels.Nun kam es so, daß Lanz Kitchener Exemplare zuschickte und dieser mit Lanz in Brief kontakt stand und in diesen, dessen Theorien auch befürwortete.“ (Sebastian Pella)

Lanz selbst schreibt über Lord Kitchener: „Man hat in den Generalstäben der Mittelmächte … die Rassenkunde ganz außer Acht gelassen … Demgegenüber hat sich Kitchener schon in der Vorkriegszeit mit Rassenkunde beschäftigt, er baute eine rassenreinlichere Etappe auf und schickte,…, die Farbigen rücksichtslos ins feindliche Feuer.“ Darüber hinaus schreibt Lanz, daß Kitchener Leser der Ostara-Hefte war.

[I don’t know where this S. Pella got his source about a relationship between Lord Kitchener and Lanz von Liebenfels, because it seems to me, after some research, that specific sources on this are extremely scarce, and perhaps even (although the claim is often enough repeated by parrot writers) non-existent beside the testimony of Lanz himself, who could have been spinning a yarn, for ought we know.]